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Décryptage Ici, le recul des ventes n’entame pas vraiment les prix. Mais les écarts sont nets entre l’ancien de Bourg-en-Bresse et le luxe, très recherché, du Genevois français.
Pour aller plus loin
Dans l’Ain et le pays de Gex, le marché immobilier tourne au ralenti depuis le second semestre 2022. « Alors que le nombre des ventes a doublé ces dix dernières années, on enregistre, dans le département à fin octobre 2023, un recul de l’ordre de 11 % du nombre des transactions, tous types de biens confondus », observe Laetitia Jossier, vice-présidente de la chambre interdépartementale des notaires chargée de l’Ain.
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Ce ralentissement, confirmé en début d’année 2024, n’entraîne pas de chute des prix, mais un « réajustement en fonction des quartiers et de l’étiquette énergétique du bien », considère Marie-Line Favier-Jouvent, de L’Adresse ML Jouvent Immobilier. Pour un T3 de 66 m2 au centre de Bourg-en-Bresse, aux Vennes ou dans le secteur Peloux-Mail, comptez 116 000 €. Pour une même surface dans le quartier de la gare, il faut ajouter 10 000 €. A l’inverse,…
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